Mes 3 échecs préférés (et comment rebondir)

Derrière nos échecs se cache une opportunité d'avancer. Découvrez ce que j'ai appris grâce aux miens !

Hello chers Audacieuses et Audacieux ! Vous est-il déjà arrivé de vous planter grave ? D’être à côté de la plaque ? Et de vous ramasser totalement ? Et bien rassurez-vous, vous n’êtes pas la seule ! Cette semaine je partage avec vous mes 3 échecs préférés. Oui, je dis bien préférés parce que derrière chacun d’entre eux se cache une opportunité de rebondir et d’évoluer.

Mes 3 échecs préférés

Plantage n°1

À l’époque de mon anecdote, ça faisait déjà un moment que je n’étais plus épanouie dans mon travail. Et bien que je pressentais que mon malaise était plus profond, je l’attribuais à la mauvaise ambiance qui régnait dans l’entreprise où je travaillais. J’ai donc quitté mon CDI pour le premier poste qui me convenait.

C’était tout du moins ce que je pensais au début. Car autant j’ai connu certains collègues et managers formidables, autant cette nouvelle responsable remportait la palme du pire ! D’ailleurs, en entretien elle m’avait confié que déjà 5 personnes s’étaient succédées sur le poste, mais aucune ne lui avait convenu. Et la dernière en date ne souhaitait pas rester. Mais puisse qu’il n’y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir…

Je me suis donc empressée de me jeter dans la gueule du loup. Et je me suis à nouveau retrouvée coincée dans un CDI qui me déprimait. Retour à la case départ !

Article en lien : Que faire quand on n’est pas heureuse au travail

 

Foirage n°2

Pour changer un peu d’ambiance, je vous propose de parler de ma vie sentimentale. C’est bien connu, mieux vaut être seule que mal accompagnée. Et bien que j’ai souvent répété cette phrase pendant mes années de célibat, je dois bien avouer que dès qu’un amoureux potentiel passait dans le coin j’oubliais mes beaux principes. Préférant de loin un rencart foireux à une soirée en tête à tête avec mon chat.

Et puisque l’auto-persuasion et le forcing n’ont jamais rien créé de concluant, j’ai pendant longtemps été la dernière célibataire de Nantes. Ou c’est tout du moins l’impression que j’avais 😂.

Article en lien : Comment faire de la solitude votre alliée

 

Derrière nos échecs se cache une opportunité d'avancer. Découvrez ce que j'ai appris grâce aux miens !
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Non-succès n°3

Pendant des années, j’ai pris de nombreuses résolutions qui n’ont jamais abouties. L’une d’entre elles a été de me remettre au sport. Pas très original ni traumatisant, mais je confesse que j’ai déjà payé 1 an d’abonnement à une salle de sport pour n’y aller qu’une seule fois. Ça n’est pas un échec retentissant. Toutefois, toutes ces choses entamées et jamais finies ont à la longue une très forte influence négative sur notre estime de nous et notre motivation. C’est pourquoi je l’inclus dans cet article.

Article en lien : Comment tenir vos bonnes résolutions

 

Comment rebondir après un échec

Lorsque nous nous retrouvons au pied du mur nous avons le choix.

Nous pouvons nous dire que nous avons la poisse, que c’est comme ça ou que c’est la faute des autres. Auquel cas, il est probable que nous nous retrouvions systématiquement dans le même type de situations. Ou nous pouvons nous prendre en main, tirer les leçons de nos déconvenues et avancer.

Nos échecs ne sont jamais des moments agréables à passer. Mais une fois que nous avons accusé le coup, si nous voulons avancer dans notre vie nous devons prendre nos responsabilités.

Mais attention, il ne s’agit pas de se culpabiliser. Être responsable de sa vie signifie simplement que nous ne sommes pas des victimes passives, mais les créatrices de notre vie.

 

Ce que nos échecs nous disent

Nos échecs sont là pour nous faire comprendre quelque chose d’important. Il nous appartient donc d’être à l’écoute.

Dans mon cas, mon plantage professionnel m’a appris à ne plus faire de choix par défaut. C’est d’ailleurs à partir de ce moment que j’ai commencé à m’intéresser à l’entreprenariat.

>>> Article en lien : Comment surmonter une déception (amoureuse, amicale, pro, etc.)

 

Mes foirages amoureux à répétition m’ont enseigné qu’il ne faut jamais forcer les choses, mais plutôt définir clairement ce que je veux puis lâcher prise. Ce n’est qu’une fois que j’ai lâché prise que j’ai rencontré mon compagnon.

D’ailleurs, un moyen ludique de clarifier ce que vous voulez est de faire un tableau de visualisation !

>>> Article en lien : Comment créer un tableau de visualisation

 

Et pour tous mes projets jamais finis, j’ai enfin compris que se fixer des objectifs ça s’apprend. Quand je pense que maintenant je commence chaque journée par ma morning routine… Comme quoi nous sommes toutes capables de changer !

 

Écouter notre petite voix

De plus, je ne sais pas si vous avez remarqué mais mes échecs professionnels et amoureux ont tous un point commun. C’est-à-dire que certains indices auraient dû me faire comprendre que j’allais droit dans le mur !

Et c’est bien là la chose la plus importante à tirer de nos échecs : toujours écouter notre petite voix (ou notre intuition si vous préférez). Parce que, quel que soit le choix qui se présente à nous, notre petite voix sait toujours quoi faire (ou ne pas faire). À nous de nous écouter et de nous faire confiance.

>>> Article en lien : Comment travailler son intuition facilement

 

Demander de l’aide

Enfin, j’ai admis que créer sa vie sur mesure, c’est-à-dire la vie qui correspond parfaitement à ce que nous sommes, nécessite de la méthode. Et j’ai commencé à faire un travail sur moi-même au quotidien.

Depuis, ma vie a complètement changée… durablement 😉.

Et parce que connaître les bons outils pour transformer sa vie ne tombe pas du ciel, il ne faut pas hésiter à demander l’aide d’un professionnel pour vous accompagner.

>>> Article en lien : 7 questions à vous poser avant de choisir une formation en développement personnel

 

Et vous, quelle est la meilleure leçon que vos échecs vous ont apprise ?

Votre expérience est précieuse, partagez-la dans les commentaires !

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7 Responses

  1. Bonsoir,

    Votre article m’a fait sourire car il m’est arrivé des échecs très similaires. Et d’autres aussi.
    Par avance, je m’excuse de mon long commentaire.

    Après avoir quitté un CDI, 2 ans, qui ne me convenait plus (une ambiance négative, une organisation à désirer, un lieu de travail sombre et peu rassurant ainsi qu’un planning hebdomadaire sans queue ni tête) j’ai dû prendre le premier travail qui me venait, commençant à rencontrer des difficultés financières. Et ce fut la catastrophe. Je n’avais jamais travaillé dans ce domaine et j’ai découvert à mes dépends qu’il ne me correspondait absolument pas. J’ai fini les deux dernières semaines en arrêt de travail, effondrée. Incapable de sortir de chez moi. Et culpabilisant de n’y être pas arrivé. D’avoir pleuré. D’avoir montré que je n’étais pas digne d’avoir des responsabilités. Ne plus y aller m’a soulager, au moins j’ai pu constater qu’il s’agissait réellement de l’emploi.

    Egalement ma vie amoureuse se répétait dans la bêtise. Alors que la solitude et le repos m’aurait fait le plus grand bien, j’enchaînais les relations amoureuses par peur de rester seule. Ce yo-yo incessant réclamant de l’amour de celui qui voulait bien m’en donner. Pour le meilleur et pour le pire. Beaucoup de pire en fait.

    Enfin, les résolutions. Celles qu’on planifie sur une feuille pour rester organisé et droite dans nos objectifs. Et qui finissent par s’envoler au bout de trois semaines. Enfant et adolescente, j’étais énorme. Mon poids ne m’a donné aucune confiance en moi et aller à l’école m’était difficile. En grandissant, j’ai réussi à perdre. J’ai tenté le sport en m’inscrivant dans une salle que j’ai payé pour rien pendant 6 mois. Pourtant, deux ans après j’ai retenté l’expérience et j’y suis allé pendant 1 an et demi avec un planning plus ou moins régulier (pendant 6 mois, je ne travaillais pas). J’ai vu les résultats positifs, je m’en rappelle de mon sourire et de ma satisfaction quand le coach me félicitait pour mes efforts. Je cranais gentiment devant mes amis en conviant l’une d’elle, désireuse de s’y mettre, à poursuivre l’aventure avec moi. Mais dès que j’ai retrouvé un emploi, arrêt net. Plus le temps, plus l’énergie. Plus l’envie.

    Pourtant, avant chacune de ses situations, je me rappelle de cette fameuse petite voix en moi. Le passé est le passé, il y certains événements qui n’ont pas aidé, mais il y a toujours eut cette intuition qui me disait « Attention! Attention! »

    Malheureusement, aujourd’hui, elle ne dit plus que ça.

    Je comprends que ses situations me sont arrivées parce que je ne me suis pas écoutée et j’ai répété les mêmes choses, en espérant qu’elles seront différentes cette fois. Est-ce dû à mon flou quant à quoi faire de ma vie ? A que faire ? A qu’est-ce que je souhaite vraiment ? J’étais, et le suis toujours, tendance à être très indécise. Ou lunatique. On me l’a souvent dit.

    Aujourd’hui, je suis perdue car je ne sais pas qui je suis. Mais je sais que je ne peux qu’aller vers le positif. Je vais essayer.

    En vous remerciant,
    Et m’excusant encore de mon long commentaire.

    P.S : Je suis tombée par hasard sur votre blog et je prends vraiment plaisir à le découvrir.

    1. Bonjour Dreamer et bienvenue sur Libère ta Vie ! Ah, savoir qui l’on est c’est le travail d’une vie, non ? Je vous souhaite d’aller de l’avant. Vous trouverez de nombreuses ressources sur le blog pour vous y aider. Un petit pas à la fois, avec patience et bienveillance 🙂
      Bonne continuation !

      1. Bonjour,

        Merci pour votre retour. Vous avez raison, c’est par notre vie que nous savons qui nous sommes. Par nos choix et nos actions de tous les jours.

        J’ai déjà pu trouver des clefs sur votre blog, comme le bilan de vie qui m’a grandement aidé à voir ce qui allait et n’allait pas. Les questions m’ont été d’une grande aide pour savoir que quels sujets je dois m’orienter. C’est un bon point de départ.

        Merci beaucoup!

    2. Bonjour,

      Je me retrouve complètement de votre témoignage (j’y suis tombé également par hasard).
      1° Vie affective néante depuis 2 ans (Covid n’a pas aidé) mais seul, je me sens mieux que dans mes relations précédentes.

      2° depuis 22 ans dans des emplois administratifs (Toujours même employeur) qui ne me satisfont pas, je suis en arrêt depuis qq jours, je n’en peux plus et ne vois pas le bout du tunnel avant 19 ans minimum.

      3° le sport et moi … on est pas copain, on ne s’apprécie pas.

      4° Rebondir? Qui/Quoi/Comment fait-on quand on a plus goût qu’à se cacher dans son ‘chez soi’

      5° Je suis plutôt attiré par le côté épicurien, bien-être, cocooning, aménagement de chez soi, … mais par chez moi, on ne s’y intéresse pas trop.

      6° Je ne gère plus les (tu devrais faire ceci, … cela, te lancer dans …), je lisais dernièrement que tous les changements de vie ne réussissent pas à tout le monde mais c’est gentil d’y penser pour moi.

      1. Bonjour Dreamer et merci de votre passage sur le blog 🙂
        Si vous ressentez le besoin de vous isoler, vous avez raison de vous écouter. Nul n’est mieux placé que soi-même pour savoir de quoi il a besoin ! Je vous suggère tout de même de rester vigilant, en vous assurant de ne pas glisser dans la déprime, voire la dépression. Il y a un juste milieu à tout 🙂
        Vous parlez de rebondir. La 1ère étape pour cela est de comprendre pourquoi nous sommes dans une situation qui ne nous convient pas. Car sans ce recul nécessaire, nous risquons de reproduire les mêmes erreurs ou difficultés. Malgré notre volonté de changement. J’aborde ce sujet dans ma formation gratuite : 3 Secrets Pour Une Vie Sur Mesure, à laquelle vous pouvez vous inscrire si vous le souhaitez.
        Je vous souhaite une bonne continuation !

  2. Alors que je sentais en moi une fragilité, j’ai augmenté volontairement mes taches de travail, croyant faire ce que je devais à tout prix accomplir. Je n’arrivais pas à dire non car des gens avaient selon mes lunettes d’aidante et accommodante, besoin de mes services. Je me suis plantée royalement car mon engagement social qui a bien servi des gens, m’a tirée vers le bas au point de développer des symptômes de maladies psychosomatiques de dlr chroniques qui auront duré au-delà de dix ans. Heureuse d’en être enfin sortie!

    1. Merci Henriette de partager votre expérience !
      Effectivement quand nous ne voulons pas reconnaître que nous allons mal, c’est notre corps qui nous le dit. Tout l’enjeu est d’arriver à nous écouter et lever le pied.
      Bravo pour avoir réussit à sortir de vos difficultés ! Vous êtes un exemple pour toutes celles qui se reconnaîtront dans votre histoire.
      Je vous souhaite le meilleur 🙂

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